|
Voilà un moment que le chien fou de la simulation de skate OlliOlli n’est pas venu titiller les pouces des dingos du trick alambiqué et des esthètes de la cabriole contrôlée. Après plusieurs atterrissages florissants sur différentes plates-formes, les darons de la planche à roulettes Roll7 s’associent aux casse-cous de l’édition Good Shepherd Entertainment pour la sortie de OlliOlli: Switch Stance sur Nintendo Switch le 14 février 2019.
Ses 75 récompenses et nominations accrochées à la ceinture, dont le BAFTA du meilleur jeu de sport en 2015, la franchise enchaîne les manuals bien sales pour ses débuts sur Nintendo Switch. OlliOlli: Switch Stance regroupe OlliOlli et sa suite OlliOlli2 : Welcome to Olliwood pour une double dose de grabs et de grinds en haute altitude.
Avec son side-scrolling 2D esthétiquement imparable, ses contrôles d’une précision implacable et son gameplay al dente, la licence a trouvé un écrin de choix avec la console de Nintendo. A la maison ou sur la route, le die & retry de OlliOlli: Switch Stance se décline à toutes les sauces grâce à ses 120 tricks et grinds différents, ses 50 niveaux touffus et ses 250 challenges à s’en faire griller l’épiderme, sans oublier le mode Spots, les Daily Grinds ou le mode RAD à débloquer. Alors on empoigne ses Joy-Cons, on balance les plus gros enchaînements possible et on abreuve ses petites esgourdes d’une bande son électro des plus groovy.
Si par un étrange concours de circonstances (enlèvement par des aliens, stage de poterie sous-marine ou encore retraite spirituelle dans le Machu Picchu) vous n’avez jamais joué à OlliOlli, OlliOlli: Switch Stance est l’occasion parfaite de réparer ce tort.
OlliOlli: Switch Stance est également le cadeau idéal à l’occasion de la Saint Valentin pour votre partenaire qui a toujours voulu faire du skate, mais a décidé d’arrêter à la première petite fracture.
Pour savoir comment maîtriser le nose grab à la perfection, rendez-vous sur Twitter : @Roll_7.
Pour passer une radiographie ludique, c’est chez @GoodShepherdEnt que ça se passe.
|
